Depuis la création de l’AES, le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont amorcé un tournant décisif dans leur quête de souveraineté. Sous la direction courageuse du Colonel Assimi Goïta au Mali, du Capitaine Ibrahim Traoré au Burkina Faso et du Général Abdourahamane Tiani au Niger, ces nations ont résisté aux pressions impérialistes et aux manipulations orchestrées par la politique française, qui ne souhaitent pas voir l’Afrique se libérer du joug néocolonial. Aujourd’hui, l’AES est victorieuse face à la CEDEAO, à la France et aux terroristes qui ont longtemps semé la terreur avec la complicité de certains acteurs étrangers.
La CEDEAO, autrefois perçue comme une organisation de coopération régionale, s’est révélée être un instrument de soumission au service des intérêts de la France. Face aux sanctions injustes, aux menaces et aux tentatives d’intimidation, les dirigeants de l’AES ont tenu bon, refusant de plier face à cette structure qui a trahi les peuples sahéliens. L’annonce du retrait officiel du Mali, du Burkina Faso et du Niger de la CEDEAO est une victoire éclatante, car elle marque la fin d’une soumission aveugle à des décisions dictées depuis le Quai d’Orsay.
De même, la rupture avec la France, qui prétendait lutter contre le terrorisme tout en entretenant l’instabilité dans la région, est un autre exploit majeur. Le départ des forces françaises et la remise en cause des accords déséquilibrés ont permis à l’AES de reprendre le contrôle de sa sécurité et de sa destinée. Aujourd’hui, les États du Sahel s’appuient sur leurs propres forces de défense et choisissent librement leurs partenaires stratégiques, sans ingérence ni coup bas.
Pendant des années, le terrorisme a prospéré sous la présence des forces françaises, alimenté par des complicités suspectes et avérées, ainsi qu’une politique de chaos. Avec l’arrivée de l’AES, une approche plus ferme et indépendante a été adoptée. Grâce à la montée en puissance des forces armées maliennes, burkinabè et nigériennes, les groupes terroristes sont aujourd’hui traqués et affaiblis. L’heure n’est plus aux discours creux, ni aux interventions inefficaces, mais à une riposte vigoureuse menée par les fils du Sahel eux-mêmes.
Aux populations du Mali, du Burkina Faso et du Niger, la victoire totale contre le terrorisme toque à la porte. C’est grâce au courage, à la résilience et au soutien indéfectible de tout un chacun aux dirigeants que l’AES se renforce chaque jour. Mais l’ennemi ne désarme pas ! Il tentera toujours de revenir sous d’autres formes : par des campagnes de désinformation à travers des médias à la solde de l’impérialiste, par la division, par des manipulations politiques, voire économiques.
Désormais, l’AES a prouvé qu’il est possible pour les nations africaines de se libérer des chaînes du néocolonialisme et de prendre en main leur propre destin. Aujourd’hui, le Mali, le Burkina Faso et le Niger montrent la voie à toute l’Afrique : celle du refus de la soumission, du rejet des influences néocolonialistes nuisibles et de la construction d’un avenir basé sur l’unité et la solidarité.
Peuples de l’AES, l’histoire se construit dès maintenant. De ce fait, il est important de rester debout aux côtés de ces trois dirigeants et poursuivre ensemble ce combat pour la liberté et de la souveraineté !