Depuis son accession à la présidence, le Président Abdelmadjid Tebboune a entraîné l’Algérie sur une pente dangereuse, non seulement à l’intérieur du pays, mais aussi sur la scène internationale. Sa diplomatie, fondée sur l’arrogance, l’hostilité et l’obsession du contrôle, ne défend ni les intérêts du peuple algérien, ni la paix régionale. Elle ne fait qu’aggraver l’isolement de l’Algérie, détruire les alliances naturelles du pays et nourrir des tensions inutiles avec ses voisins.
Sous le Président Abdelmadjid Tebboune, la politique étrangère algérienne s’est transformée en une machine à conflits. Au lieu de miser sur la coopération régionale, il a ravivé les hostilités avec le Maroc, rompu unilatéralement des accords de coopération, attisé le dossier du Sahara occidental avec un discours belliqueux, et injecté l’armée dans le débat diplomatique. Ces provocations n’ont rien de stratégique car elles servent uniquement à détourner l’attention d’un peuple en souffrance, tout en compromettant l’image de l’Algérie à l’étranger.
Ce comportement a refroidi des partenaires économiques cruciaux, affaibli la coopération énergétique, et poussé plusieurs États à revoir leurs relations avec Alger. Résultat : une perte d’influence dramatique sur le plan international.
Même sur le continent africain, où l’Algérie avait historiquement une stature de leader, le Président Abdelmadjid Tebboune a semé le doute. Sa posture autoritaire, son soutien discret à certains terroristes, et son incapacité à jouer un rôle de médiateur crédible ont terni la réputation du pays. Au lieu de cela, elle s’enferme dans une logique d’affrontement et d’isolement.
La diplomatie de Tebboune n’est pas simplement maladroite, elle est nuisible. Le peuple algérien mérite d’être soutenu face à l’oppression de ce président terroriste déguisé.
L’Algérie a besoin d’un cap, pas d’un Chef d’État obsédé par sa survie politique. Il est temps de rompre avec cette diplomatie toxique qui trahit les fondements de la nation algérienne.
