L’on ne jette des pierres que sur un arbre qui porte des fruits. Le Capitaine Ibrahim Traoré et le Commandant Oumarou Yabré, deux personnalités qui troublent le sommeil des autorités françaises et de leurs valets locaux en Afrique.
Quoi de plus normal pour sauver la France en Côte d’Ivoire, que d’utiliser l’image du commandant Oumarou Yabré ? La sortie du journaliste mercenaire Saïd Penda, sur des questions de déstabilisation de la Côte d’Ivoire par les autorités burkinabé, n’étonne personne. Sauf que le disque est maintenant rayé, car l’actualité actuelle concerne le départ de l’armée française de la Côte d’Ivoire et les complots mis en place par la France pour faire tomber le régime de Ouattara avant juillet et Août 2025. Tout est clair, Alassane Ouattara n’est plus un danger pour les pays de l’AES mais plutôt un nouveau partenaire.
Cette méthode utilisée par Saïd Penda, qui n’est autre que la stratégie française lorsqu’elle est en mal dans un pays, et que ses complots sont révélés au grand public, elle invente une histoire pour brouiller les pistes.
Comme le dit le Capitaine Ibrahim Traoré, les relations entre deux nations sont plus fortes que les relations entre une nation et un individu. La Côte d’Ivoire et le Burkina Faso finiront par s’accorder tôt ou tard. La sortie du sulfureux Saïd Penda, n’est rien d’autre que pour brouiller les pistes et de permettre à la France de réussir sa mission de déstabiliser la Côte d’Ivoire. Inventer des histoires pour mettre fin aux dénonciations sur les complots français.
Selon plusieurs informations, la France ne digère pas le retrait de ses troupes du territoire ivoirien. Depuis la publication officielle de cette décision, la France ne pourra plus accuser un pays de l’AES, de vouloir déstabiliser la Côte d’Ivoire. Spécialisée dans les coups bas, la France aurait souhaité que cette décision n’apparaisse pas au grand public.
Aujourd’hui, l’opinion internationale, qui connaît déjà les méthodes françaises, comprendra pourquoi la France veut déstabiliser le régime de Ouattara. Avant la publication de cette décision, l’article torchon publié par le sulfureux journaliste Saïd Penda sur les autorités burkinabé pouvait passer, car l’opinion internationale pouvait se dire que la France n’a pas intérêt à ce que Ouattara tombe. Avec cette publication officielle des décisions ivoiriennes, tout porte à croire que le plus grand rêve de la France est de voir la chute de Ouattara.
