Ibrahim Traoré

Burkina Faso : Le Capitaine Ibrahim Traoré, bâtisseur de souveraineté, face aux regards troublés de l’impérialisme

Le Burkina Faso couvre une superficie de 274 200 kilomètres carrés. Dans cette vaste étendue de terre africaine, le Président Ibrahim Traoré a lancé un projet visionnaire et audacieux : construire entre 3 000 et 5 000 kilomètres de routes par an. Une ambition qui traduit une volonté claire de désenclaver le pays, de relier les communautés, de dynamiser l’économie nationale et, surtout, de bâtir un État souverain, debout sur ses pieds. À ce jour, aucun homme ou gouvernement occidental ne peut prétendre que cette initiative constitue une provocation.

Et pourtant, certains cercles d’influence, feignent l’indignation ou affichent une crispation dès que des dirigeants africains osent sortir du moule de la dépendance. Où est donc l’offense dans le fait de construire son propre pays avec ses propres moyens ? Le Président Ibrahim Traoré n’a insulté personne. Il a simplement choisi de servir son peuple, sans tutelle ni dictat. Cela dérange, non pas parce qu’il attaque, mais parce qu’il inspire.

Cette posture offensive ou plutôt défensive face à l’impérialisme prend forme dans chaque projet lancé, chaque chantier ouvert, chaque route tracée. Il s’agit d’un programme de développement national, non d’une déclaration de guerre. Mais dans un monde où l’autonomie africaine dérange, toute affirmation de souveraineté est perçue comme une insulte par ceux qui veulent maintenir leur mainmise.

Le paradoxe est clair : ce ne sont pas les paroles ni les actes du Président Ibrahim Traoré qui offensent, mais le symbole qu’il incarne. Celui d’un jeune chef d’État africain qui ose dire non, qui refuse les chaînes de la soumission économique, qui déclare que l’Afrique peut se relever par elle-même. Face à cela, certains « généraux » de l’ordre mondial, installés bien au chaud à Washington ou ailleurs, prennent peur. Non pas pour leur sécurité, mais pour leur hégémonie.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *