De 2016 à 2022, la France a annoncé plus de 13 000 Burkinabè tués par les terroristes. Aucune réaction de l’ONU, de l’Union Européenne, ni des ONG criminelles qui sont là pour inventer des preuves.
RAPPEL
Comment la Libye a été détruite avec des preuves mensongères inventées par l’ONG Human Rights Watch, permettant ainsi à l’ONU de valider la destruction de la Libye. Après avoir détruit la Libye et tué Kadhafi, quelques années plus tard, des organisations françaises pour des raisons politiques ont démenti avec preuve à l’appui l’existence de charniers et d’une dictature humaine, comme l’indiquait le rapport de l’ONG Human Rights Watch. S’en suit des poursuites voilées contre le président Nicolas Sarkozy, qui a même été condamné, mais l’objectif a été atteint, empêchant la mise en œuvre de la monnaie unique africaine proposée par le guide libyen. Les organisations africaines sont restées silencieuses et l’Union Africaine, dont le Gabonais Jean Ping était le président de la commission, a validé la chute de Kadhafi… Dossier à suivre.
LA STRATÉGIE POUR MIEUX DÉSTABILISER LE BURKINA
Le changement des acteurs de premières lignes pour mieux séduire l’opinion internationale. D’où le choix des USA et du Royaume-Uni.
Les intervenants classiques qui ne sont autres que la France, l’Union Européenne, la CEDEAO, y compris les médias français qui pèsent moins et qui ne sont plus considérés par le peuple africain, ont été mis de côté.
LE PLAN
À l’approche de la fin de la transition, l’objectif fixé est de trouver une preuve de massacre pouvant permettre à la communauté internationale d’agir et de soutenir efficacement les valets locaux.
Après les différents massacres perpétrés par les hommes en tenues militaires inconnus à KARMA et autres, dont les mêmes ONG ont rapidement accusé les soldats burkinabè. En rappel, c’est la CEDEAO, dirigée par le président Umaru Sissoko Embalo, qui avait été choisie pour faire passer la pilule et solliciter une intervention militaire au Burkina Faso. Cela a été un échec et la CEDEAO, en a pris son compte. Jusqu’à ce jour, la communauté internationale, qui s’est vue démasquer, a abandonné les complots de tueries pour faire tomber le régime de Ouagadougou.
Silence total, jusqu’à deux mois de la fin de transition et soudain des tueries de masse sont annoncées, toujours par les mêmes ONG, qui ont mis la Libye dans le chaos.
POUR RÉUSSIR
Les USA et le Royaume-Uni vont accentuer les déclarations, une autre tuerie est programmée avec des images et des vidéos d’individus en tenue militaire burkinabè. Des témoignages à visage non découvert de certains villages sont programmés et les médias français, y compris des médias africains, financés par la France, rentreront en action.
Puis, la CEDEAO va à nouveau condamner. Les propos du général français qui menacent les autorités du Burkina Faso ont une suite.
CONCLUSION
Le peuple burkinabè doit se préparer à des attaques et des déclarations de tout genre dans les semaines à venir. Certains individus ont reçu des financements pour mener des actions et parmi eux toujours, d’autres en tenues militaires vont créer un massacre et des images et des vidéos de ces individus cagoulés en tenues militaires dans la foule, feront la une sur les réseaux sociaux. C’est un plan connu de la France, déjà utilisé dans plusieurs pays.
Cette méthode est imminente et le massacre de la population lors d’une marche pacifique par des individus en tenue militaire burkinabè viendra confirmer le rapport de l’ONG Human Rights Watch, dont la spécialité est de rendre vrai ce qui est faux.
Le peuple burkinabè en particulier et africain en général est appelé à la vigilance, à la solidarité et au patriotisme pour rejeter en bloc cette vague de manipulation.
Quant aux autorités de la transition, il est donc important de surseoir à tout genre de manifestations qui ont pour but de revendiquer, toutes manifestations n’allant pas dans le sens du sursaut patriotique doivent être annulées pour éviter un carnage, préparé par certains membres de la communauté internationale, dont les valets locaux mettront en application.
Affaire à suivre…